I'm not backing down • Aphrodite

Dans la vie, hommes comme femmes, auront de nombreuses épreuves dans leur vie à traverser. Heureuses comme malheureuses nous pourrions appeler ces épreuves des évènements. Ceux-là seraient sans doute ce qui définit ce qui fait d’un être vivant ce qu’il est : son caractère. Il est différent et complexe à définir par ue personne elle-même. Une personne en elle-même ne peut se définir totalement. Elle se définit alors indéniablement par les autres. Oui d’accord toi être humain rebelle, tu dis que personne ne te définis et pourtant quand si je te demandais de te définir en oubliant tout ce que les gens pensent ou ont dit de toi ce serait impossible. Il y a au moins une chose que quelqu’un a dit qui a fini par être vraie, même si tu ne refuses, c’est un fait. Si l’on prenait l’exemple d’Aphrodite, il y aurait beaucoup de choses à dire à son sujet puisqu’un seul mot ne pourrait définir un être humain en général. Voici la raison pour laquelle nous allons la voir entièrement sous deux catégories classiques : défauts et qualités.

Arrogante - Bavarde - Blessante - Bornée - Cassante - Compliquée - Désobéissante - Émotive - Énigmatique - Entêtée - Impatiente - Imprudente - Impulsive - Indécise - Indiscrète - Indomptable - Insouciante - Intuitive - Joueuse - Maladroite - Maniaque - Méfiante - Mystérieuse - Obstinée - Orgueilleuse - Provocatrice - Rancunière - Sarcastique - Susceptible - Tempétueuse - Têtue.

C’est en commençant par le plus pénible, c’est-à-dire les défauts, que nous pouvons dire que les innombrables défauts de la jeune femmes font d’elle une femme complexe et compliquée à vivre. En somme, il ne vaut mieux pas la contrarier ou du moins ne pas le lui dire ou le lui montrer. Se vexant assez facilement, elle haït lorsque l’on se met en travers de son chemin. Lorsqu’elle a une idée en tête, cela ne sert à rien de la convaincre du contraire puisque c’est ce qui la fera faire encore plus cette idée. La psychologie inversée marche à merveille par contre, point positif en somme lorsque l’on veut la contrôler. C’est ce qui la rend naïve et insouciante d’ailleurs. Au serin de sa vie, Aphrodite n’a connu qu’une seule chose : la retenue. Il fallait qu’elle se retienne de tout, d’absolument tout, tant qu’un membre de sa famille faisait partie de sa vie. Hors, aujourd’hui, elle a réussit à faire en sorte d’avoir nettement plus de libertés. Elle ignore pourquoi son frère a respecté tous les choix de la jeune femme mais cette dernière en est ravie. Elle se sent libre et capable de tout. Ceci lui a procuré son esprit de compétitivité qu’elle a peut-être poussé un peu loin lorsque l’on la voit aujourd’hui aussi impulsive et inutile que cela. Elle a une raison et sait se ;ontrer régulièrement raisonnable, cependant il y a un côté chez elle qui peut tout faire basculer. Elle peut alors être totalement sur la défensive et bornée dans ces cas-là.                

À l’écoute - Admirable - Affectueuse - Ambitieuse - Audacieuse - Bienveillante - Brave - Combative - Compétitive - Confiante - Convaincante - Créative - Critique - Curieuse - Déterminée - Directe - Douce - Dynamique - Éclatante -  Élégante - Éloquente - Énergique - Imaginative - Intelligente - Minutieuse - Observatrice - Prévoyante - Sensible - Productive - Vive.

Présentement nous pouvons passer aux côtés positifs d’Aphrodite. Ce côté qui fait son charme, qui fait que beaucoup l’apprécie. Autour d’elle émane une certaine aura qui fait en sorte que les gens lui font confiance à un moment donné. Son énergie est positive malgré ses défauts, elle reste quelqu’un de bien quoi qu’il advienne. Ayant pris des cours afin de travailler son éloquence, elle sait parfaitement adapter son discours peu importe la société dans laquelle elle se trouve, chose qui pourrait être essentiel, selon elle, en tant que conseillère financier. Elle doit conseiller certes mais elle doit utiliser les bonnes formules, les bons mots, afin de convaincre en cas de réticences. Son imagination et sa créativité font d’elle une créatrice de vêtements qui demande le respect de ses création faits avec sa minutie ainsi qu’avec une grande élégance, c’est ce qui la décrit le mieux sans doute : ses créations.

— Malia…

À chaque fois que son frère commençait par ce prénom Aphrodite savait pertinemment qu’une longue et tumultueuse conversation allait s’en suivre. Elle se souvenait de la première fois où il avait employé ce deuxième prénom que leurs parents lui avait donné avant même qu’elle revienne au monde. La première fois que son frère, Aries, sait employé ce prénom avait été lorsqu’Aphrodite n’était encore qu’un bébé et qu’elle ne voulait pas s’arrêter de pleurer et que le petit garçon, alors âgé de huit ans, avait utilisé ce ton désespéré en disant ce deuxième nom. Peut-être était-ce celui qui la décrivait le plus, bien qu’Aphrodite le faisait également. Cependant comme l’a dit Platon, et Aphrodite s’en souviendrait toujours, il y a toujours deux Aphrodite et donc deux amours : l’amour maternel et l’amour sexué. Elle s’est d’ailleurs toujours montrée sous deux visages, comme si elle ne pouvait s’en empêcher, comme s’il s’agissait de se protéger en n’agissant jamais de la même manière, surtout concernant les hommes.

Mais l’histoire d’Aphrodite ne se résume en rien à tout cela. Son histoire ne peut être résumé en quelques lignes, c’est impossible, pas avec ce qu’elle a vécut. La jeune femme a été une enfant jadis, une enfant qui a toujours été la cadette que l’on a toujours pensé incapable de se battre, que l’on pensait devoir être protégée quoi qu’il advienne et elle y a cru lorsqu’elle était enfant, qu’elle devait être protégée afin de pouvoir survivre. Si Aphrodite se voyait enfant, elle se giflerait volontiers face à tant de conneries. Des conneries que lui avaient répétés son grand frère, Aries, et sa grande soeur, Arthémis. Durant toute son enfance, Aphrodite a vécu à Nar’, terre de feu et de grande chaleur. On aurait pu croire que toute sa famille aurait pu être aussi chaleureuse et réconfortante que le feu qui pouvait rester dans u volcan, hors la lave brûle et consume de l’intérieur. La famille Allen a toujours été une famille qui se consumait à petit feu et ce depuis une dizaine voire une vingtaine d’années. Mais la famille était quelque chose de primordiale, sauf en ce qui concernait Arthémis qui n’avait jamais été prête à avoir un petit frère ou une petite soeur, elle avait détesté ses parents à la minute où elle avait appris qu’ils avaient procréés sans lui demander son avis à elle. Elle devrait partager son grand frère et il en était hors de question. Cependant, bien qu’elle l’avait toujours voulu de toutes ses forces, elle n’avait jamais pu se résigner à tuer sa soeur, elle en était incapable. Arthémis aurait voulu noyer, brûler vive, étrangler ou encore embrocher Aphrodite mais elle n’avait jamais pu le faire bien que les idées de morts ne lui manquait absolument pas. Elle avait de nombreux scénarios en tête mais en posant son regard la première fois sur la cadette de la famille Allen, elle sut alors que la tuer lui serait impossible. Arthémis n’a jamais su l’expliquer mais il y avait une sorte d’aura chez Aphrdoite qui faisait qu’elle était intuable aux yeux de sa famille.

Les années passèrent et Arthémis vouait une guerre incessante envers sa petite soeur qui tentait de se battre comme elle le pouvait bien que leur frère intervenait toujours avant qu’Aphrodite ne puisse dire ou faire quoi que ce soit et c’était ce qui se déroula toute son enfance sans que la jeune fille ne put dire quoi que ce soit, elle ne savait pas quoi lui dire ou même comment puisqu’elle savait pertinemment que le test les séparait indéniablement. Ce fut lorsque la blondinette eut deux ans que son grand frère partit vers sa région : Ard’, celle de la terre. À l’âge de cinq ans, Arthémis sut qu’elle allait rester à Nar’, auprès de sa famille. Les années passèrent et la relation entre Arthémis et Aphrodite fut viable pour les deux soeurs. Elles vivaient en totale compétition mais il s’agissait d’une compétition et comme dans toute compétition, elles ne se battaient plus physiquement ou psychologiquement. En effet, depuis le départ d’Aries, il leur est arrivé de se battre physiquement plus fréquemment bien qu’Arthémis gagnait, étant plus entraînée que sa petite soeur.

À l’âge de dix ans, ce fut au tour d’Aphrodite d’aller passer le test, celui qui la condamnerait à se battre perpétuellement contre sa soeur et à espérer gagner un jour ou l’autre, ou alors à s’en aller de cette famille qui la tuerait si elle continuait à les voir; Aphrdoite n’avait jamais eu une bonne relation avec ses parents contrairement à Arthémis ou Aries. Elle n’avait jamais compris comme ils pouvaient leur courir dans les bras, sans doute parce qu’ils la rendaient faible puisqu’il lui répétait qu’elle était incapable de s’en sortir seule. Ou du moins Malia ne pouvait pas s’en sortir seule apparemment. C’est sans doute à cause de cela qu’elle avait toujours détesté ce prénom, peut-être l’avait-elle toujours assimilé à une faiblesse. Ce fut à l’âge de dix ans qu’Aphrodite sut qu’elle irait, en compagnie de son grand frère, à Ard’. Elle se disait qu’elle pourrait enfin s’éloigner de ses parents et de sa grande soeur.

La vie à Ard’ fut assez spéciale pour Aphrodite, pour ainsi dire elle n’avait jamais vécu avec son grand frère bien qu’il lui rendait visite de temps à autre; En arrivant à la région de la terre, elle vivait chez lui, jusqu’à ce qu’il parte pour Assima, afin d’effectuer des études universitaires. Cependant elle resta à la maison dessin frère, ne savant pas réellement ou aller sinon. Il fallait avouer que ça avait un côté réconfortant. Elle était aussi assez indépendante bien que son frère avait demandé à certaines personnes de s’occuper d’elle, sans qu’elle ne le remarque pour la plupart. Les années passèrent et l’adolescence arriva et, lorsqu’Aphrodite découvrit tous les stratagèmes de son frère, elle demanda à son frère de la laisser à vivre sa vie. Elle n’était pas partie de chez ses parents pour vivre dans une spirale nocive. Son frère accepta mais n’en fit rien autrement que de demander à certaines personnes de la surveiller discrètement. Cependant Aphrodite n’était pas idiote et le remarqua bien que cela d^mettre u mois avant que ses doutes ne soient confirmer. Elle entra dans une colère noire ce jour-là. Seul Fakaï avait réussit à la calmer ce jour-là.Il avait toujours été le seul en qui elle avait eu une confiance aveugle. Elle savait que jamais il ne l’emprisonnerait et qu’il serait toujours là quand elle en aurait besoin. Durant plusieurs années, la jeune femme en voulut à son frère. Durant ces trois années, en même temps que ses études en mode et commerce, Aphrodite entreprit deux sports : le sport de combat et la gymnsatique. Après trois ans d’entrainements, elle était devenue assez forte en combat et assez souple pour faire ce qu’elle voulait dans la vie. Elle n’était pas dupe au fond, elle savait que c’était ce qu’il fallait pour arriver à se faire une place quelque part dans ce monde : avoir des bases en économies et savoir se battre ou se dépêtrer d’une situation. Durant ces trois années, elle prit d’ailleurs un cours qui lui fit développer son éloquence, elle avait des connaissances basiques dans l’expression en société.

Durant ces trois années sans parler à son frère, Aphrodite avait également trouvé l’amour. Tout allait bien en dehors des quelques disputes toutes banales, lorsque l’on prenait du recul, ou du moins c’est ce qu’a cru Aphrodite pendant trois années. Trois années où cette histoire n’avait été en réalité qu’une fausse idylle. En effet, le frère de la jeune femme, Aries, avait laissé carte blanche à l’un de ses plans B afin qu’il garde un oeil sur sa soeur. Inutile de préciser à quel point le coeur de la blonde fut brisé en mille morceaux lorsqu’elle l’apprit. Elle ne l’apprit pas de la bonne manière. Ce n’était pas lui qui lui a raconté non. Il s’agit d’Arthémis, la soeur de la jeune femme. Arthémis savait pertinemment qu’elle pourrait avoir le dessus sur sa petite soeur et elle avait eu raison. Aphrodite chassa cet homme de sa vie. Six mois plus tard, elle décida de retourner à Ard’. Elle ne dit rien à personne en dehors du propriétaire de l’appartement. Elle souhaitait que personne ne soit au courant. Elle croisa d’anciennes connaissances mais cela mit un mois avant qu’elle ne croise son grand frère. ils se croisèrent alors qu’elle allait se chercher à manger. Au début ils n’ont pas réagit tous les deux lorsqu’ils se sont rentrés dedans. Puis Aphrodite s’en alla sans rien lui dire, sauf qu’il l’arrêta dans un endroit à l’abrites regards. Elle lui frappa le torse à de nombreuses reprises, folle de rage. Lui hurlant qu’elle le détestait. Il se laissa faire, il savait qu’il l’avait détruite et qu’il avait été trop loin. Après vingt bonnes minutes à le frapper, la jeune femme se calma et son frère s’excusa. Il savait qu’il avait été trop loin et qu’il aurait dû lui faire confiance. Cela mit du temps mais au bout de six mois, elle commença à lui faire confiance. Surtout après cette nuit-là.

Cette soirée-là, elle avait voulut retourner à Assima en compagnie de son grand frère. Elle avait eu envie de passer du temps avec lui mais aussi à d’anciens amis de la capitale. Elle avait laissé son frère se reposer cette soirée-là afin qu’il prenne contact avec leur chef et l’aider en tant que bras-droit. Il avait eu le droit de s’absenter exceptionnellement et il s’en voulait. Cependant Aphrodite connaissant son penchant que l’on qualifierait d’amoureux pour leur chef. Elle avait beau lui dire d’abandonner, il se refusait de le faire. Peut-être parce qu’elle avait eu le malheur de lui dire d’éviter d’aller là-dedans avant même qu’il ne tombe réellement amoureux d’elle. Mais cela n’aura aucun rapport avec cette nuit-là, ou du moins pas dans l’esprit d’Aphrodite. Elle se souvenait que d’une partie de la soirée, ou du moins elle pense se souvenir d’une partie de la soirée. Elle était allée à une soirée privée avec des amis. Elle avait été naïve et inconsciente selon la société. Elle n’avait pas vu qui lui avait remis son verre, elle lavait laissé là et l’avait repris un peu plus tard dans la soirée. Elle ne se souvenait de rien, absolument de rien. Comme droguée, enfin elle a été droguée. Mais elle ne se souvenait de rien. Elle se souvenait juste d’avoir bu son verre. Aujourd’hui elle se souvient juste de s’être réveillée dans un lit, son lit à Ard’. Aujourd’hui la jeune femme se souvient uniquement qu’on lui a dit qu’elle s’est faite frapper jusqu’à ce qu’elle soit si mal en point qu’elle ne puisse plus marcher pendant une semaine. Cependant vous le savez tout comme moi, ce n’est pas ce qui est arrivé. Qui aurait drogué une jeune femme uniquement pour la frapper ? À moins d’être réellement à cran cela n’arrive jamais, cependant Aphrodite avait confiance en son frère. Lorsqu’Aries le lui a dit elle a été sceptique mais elle l’a cru. Aujourd’hui elle ne connaît toujours pas la vérité. Fakaï a tenté de lui faire entendre raison mais il savait qu’il ne pouvait pas la faire se diviser en deux, la faire souffrir comme elle avait souffert dans le passé. Donc il a arrêté et a commencé à utiliser la même version qu’Aries, pour le bien de la blonde. C’était peut-être cela le déni… Un partie de soi-même qui nous ment.

Cependant pour combler à cette situation, la jeune femme décida de demander à un entraineur d’Ard’, le meilleur, de l’entraîner au combat, comme s’il devait la former à être un soldat. Comme si elle devrait combattre bientôt. Il l’entraina alors. Aries l’apprit à un moment donné bien entendu. Cela créa alors une grosse dispute entre les deux. Peu à peu Aries s’y fit, réalisant qu’elle ne combattrait sans doute jamais personne et que, au fond, ça le rassurait de savoir qu’elle pouvait se battre si jamais il devait s’absenter et qu’elle avait à le faire, ce qui ne serait jamais le cas sans doute. Cependant, depuis son retour dans la vie d’Aries, Aphrodite lui a té d’une grande aide. Le trentenaire a beaucoup de mal avec l’économie de la région ainsi qu’avec tout ce qui est culturel. De fil en aiguille, la jeune femme lui a envoyé une amie qui le conseille au niveau des festivités culturelles ou mêmes de tout ce qui entoure le genre culturel d’Ard’. Il s’agit d’une des choses essentielle pour maintenir une région soudée quoi qu’il advienne et Aries l’a rapidement compris. Concernant l’économie, Aphrodite a mis un moment, voire même plusieurs mois mais elle a réussit à réorganiser la finance de leur région afin d’effectuer une finance plus simple au niveau du commerce inter régionale puisque de nombreux commerçants, dont Aphrodite, avaient besoin d’un système financier qui tenait la route. Elle conseille également son frère au niveau des finances armées également bien qu’elle n’y connaisse rien dans l’armée en dehors de la finance. Elle a arrêté le commerce inter régional, cependant elle continue de gérer son commerce avec l’aide de quelques personnes.